« je peux avoir mon café ou ? » « va te faire foutre tu l’aura quand tu l’aura c’est claire, si t’es pas content va voir ailleurs! » décidément ce boulot n’était pas du tout pour moi et loin de la même. Surtout que j’était rentré tard hier pour m’être amusé avec une partie de l’équipe international de foot de la région. Enfin j’avais pris see boulot pour voir si je pouvais abandonner la danse mais définitivement non, en plus le boss ne savait plus trop quoi faire entre me réprimender ou me mettre la main aux fesses… je fesait fuir ces client et avait un attitude désaastreuse. « j’aimerais l’avoir avant demain! » « ah bha fallais le dire » je pris la cafetiere et lui envoyait dirrectement au visage.. hello brulure et plaintes contre le starbuck! Lol « alors il est bon ce café pauvre connard? »

« ouais c’est ca, un faux médecin oui » puis mon patron me pris par le bras pour m’attiré veers le bureau en arrière… il était furieux mais toujours pas assez pour me regarder dans les yeux… pour lui mes erreur était la pour qu’ensuite il puisse s,amuser un peu avec moi sans réprimande vous parler d’un salop quoi..« non mais lâche moi bordel.. j’en ai rien a faire de ton job pourris»

« je t’ai dit de me lacher c’est clair » il me baragouina comme un tu l’aura bien chercher, avant de me plaquer contre le mur… face contre le mur alors qu’il glissais ces main sur le cordon de mon tablier et ceux de mon haut… l’enfoiré . il étais pas si hideux mais totu de même pas question qu’il me touche comme ca « je t’assure que vsi tu me lache pas de ce pas tu la le payer mobidic!»

Le jeune homme arrivais très rapidement heureusement pour moi qui pour une fois ne trainais pas mon fusil sur moi. « tes couilles vont finir en charpie connard» je n’eus pas réellement le temps de voir le jeune homme arrivé surtout que j,était face contre le mur mais tout de même. Enfin je sentis la pression contre mon corps se lacher me retournant pour voir le salop par terre… j’en profitais pour lui lacher un bon cracha au visage accompagner d’un coup de pied avant de prendre la main du jeune homme.. « aller vite, pique le plus de truc en 5 minutes» pour ma part je pensait a la caisse… il le méritait ce con

Bien quoi je suis certaine qu’il n’allais pas me donner ma paye apres un truc comme ca alors j’allais me faire un peu de blé et puis apres ce qu’il avait essayer de me faire il n’allais surment pas appeler la police.. enfin les clients eux avait l’aire de trouver la scene assez inédite, qui leurs en blamerais apres tout … enfin je me dépechait et suivit le jeune homme dans sa voiture « aller vite démare!» il nous suivait drole non « et?»

Je rigolais doucement a ces mots, sortant du petit sac que j’avais remplis le paquet de billets… il devait y avoir un bon mille dollars ou meme plus… c’est pas une banque mais s’était quand même un bon coup de pouce… comptant a l’aveuglette les billets je lui dit. « bon c’est pas le plus gros paquet de blé mais on a a peu pres neuf cent dollars chacun alors ca va.» moi qui partage, oui, apres tout tout c s’était grace a lui.

Je suis peut-être quelqu’un de discutable mais tout de même je sais reconnaitre un allié et lui redevoir ces effort quand même. Il m’avait éviter de me faire rentrer dans les fesses puis m’avait sortis de la alors... on arrivait devant chez moi et il me proposait de me racompagner a la porte mettant cela sur le dos du risque.. « hum ouais, qui sait il y a peut-être une bombe dans mon appartement» coucher encore avec lui? Deux fois ca va mais trois… on risquait beaucoup.

« ca ne fait aucun doute» ce que je fais aux hommes, je ligniore mais il y a des tas de mec qui convoite votre maaitresse ici présente… c,est peut-être l’inaccessibilité qui leurs plait tant j’imagine… enfin. Je sortis de la voiture laissant le jeune homme me suivre jusqu’à ma chambre. « rien a l’horizon, je devrais survivre…» puis j’entrait dans mon appartement le laissant la sur le paillasson, libre de faire ces choix… alors que de l’autre coté, un haut venait d’être retiré

je laissait glisser un main sur son torse désormet a l'aire libre alors que je le laissait détrousser ma jupe, mouvant des fesses sur lui ou mon entre cuisse n'étaut que très pret de son visage... ma main elle déscendait tranquillement vers son entre jambe que j'igniorais, mort avant que la bataille n'ait commencer

Je sais que ce genre de chose peut arriver, que l’homme reste moue face aux attouchements donné, mais pour moi ca n’avait jamais été d’autre que des dires d’autres fille… une légende que je n’avait pas connun. Jamais aucun homme n’était rester pendouillant sous mes travaux et ca je dit bien jamais. Je n’allais pas tarder a bientôt éclater de rage.

≪nah mais c'est quoi ton foutu problème d' impuissance merde,si tu la sortir alors fout moi le camp!≫ je lâchait la corde avant de me relever… j’avais envie de baiser et qu’il ne puisse m’accorder ca me foutait les boules. Apres tout il aurais mieux fait de rester dans sa bognole des le départ.