Que faisais-je dans cet endroit ? C’était bien le dernier ou il fallait aller, il y avait toujours des emmerdes dans ce mini-bar à boisson non alcoolisé. La preuve je me trouvais gentille ment assis sur ma chaise, je regardais rien à part mon café, et puis j'avais mes écouteurs dans les oreilles, la musique à fond je ne faisais pas attention à ce qu'il se passait sauf quand j'entendis un gros bouma et puis quelqu'un était venu s’assoie rapidement a ma table et au final qui se faisait traîner par un mec. C'était la jeune demoiselle qui se trouvait en face de moi. Je me levais doucement et je regardais ou allait le mec qui n'avait pas franchement l'air très sympathique. J'enlevais les écouteurs, et je rangeais tout mon bordel dans mes poches, je bu d'une traite mon café et je les suivais doucement, sans faire de bruit, mais en tout cas il allait morfler. Ce n'était pas un vieux croûton comme lui qui allait me faire peur franchement, j'ai honte de lui. Je marchais dans la ruelle, les lunettes sur le nez et je tourna dans l'autre ruelle et là, la porte se ferma puis j'entendis de drôle de bruits. Assez étrange , en tout cas elle ne devais pas rester plus d'une seconde là-dedans, ce mec avait des idées assez spécial même si je les connaissais je n'allais pas le dire tout fort. J'ouvris la porte et la je me retrouvais tête à tête avec l'homme et la demoiselle allongé parterre qui n'avait pas franchement l'air bien . Je ne disais rien, je le regardais. Mon regard glacial froid et qui donne peu envie de rester en face commençait à être voyant. Mon visage sans expression était peu sympathique. Au final sans attendre quoi se soit de sa part, je lui mis un coup de poing dans le visage et au final un coup de pied dans le Tibia. Le mec se trouvait parterre et il ne bougeait plus vraiment . Alors je pris mon temps pour prendre la demoiselle.

Je la portait dans mes bras, j'avais l'impression que beaucoup de monde me regardais. Je la déposais alors sur une chaise qui traînait dans une des ruelles, ou personnes ne passaient. J'attendais donc qu'elle reprenne ses esprits, en attendant je prenais mon paquet de clope et sortait l'une d'entre elle pour l'allumer grâce à mon briquet. Je m'appuyais au mur,et je tirais tranquillement. Elle ne bougeait pas vraiment, soudain ses yeux venaient de s’ouvrir. Mais je ne bougeais pas, je restais la ou je me trouvais, mon regard était caché par ses lunettes bien teinté noir et ma clope dans la bouche. Je la regardais, je restais près d'elle, pourquoi ? Bonne question, je ne voulais pas de meurtre sur ma conscience sûrement. Je n'aidais jamais personnes et là cette fois-ci j'ai eu un sentiment que je devais l'aider. Je ne disais rien, je restais à ma place. Tournant parfois la tête pour regarder ailleurs que la jeune.