Tout le monde, ou presque, a une double personnalité, ne parlons pas de schizophrénie mais de quelque chose que nous faisons chez nous mais que nous ne nous permettrions jamais en public. Mais chez certaines personnes, cela est accentué : ces personnes sont appelées les Switch People ( Switch Girl et Switch Boy ). Dans leur mode off, elles sont sales ( très sales ), elles adorent ce qui est immangeable, elles portent des habits qu'on ne donnerait même pas à la Croix Rouge : des sous vêtements effilés, des habits défrichés, etc ... Mais quand ces personnes entrent dans leur mode on, tout le monde les admire par leur beauté, par leur maquillage "impec" pour les filles, par leur coiffure parfaite. Méconnaissables ! Les Switch People se gardent bien de le dire aux autres, si quelques personnes sont au courant, elles ont plutôt intérêt à garder le secret car ces personnes feraient tout pour être en haut de l'élite.

Certains Switch People vivent à New-York, grande ville surplombant le monde avec son port ouvert au commerce sur le monde entier. En son centre, Manhattan : ses rues commerçantes avec ses boutiques de luxe connues au delà des océans. Chaque personne rêve d'y habiter pour y vivre dans ses magnifiques maisons résidentielles enviées jusque dans les séries.
C'est dans ces résidences que vivent la plupart des Américains. Certains y sont très riches, d'autres moins aisés, mais tous convoitent, pour leurs enfants ou même pour eux, une de ces deux universités : Harvard et Yale. Celles-ci sont en compétition, et les élèves font tout pour être premier sur un site classant les universités selon différents critères : structure, originalité dans les programmes, événements organisés, etc ... L'adresse de ce site regardé par tout New York est WholeTruth.com. Comment réagiront les Switch People et tous les autres lycéens ?

mon coeur, mon amour ; ça dégouline d'amour. C'est beau mais c'est insupportable. Digne de ces romans à l'eau de rose débordant de sentiments et de passion. Je dégueule sur la facticité des sentiments, moi qui pourtant suis folle de Roméo et Juliette. Paradoxe infernale qui nous recale au simple rang de mortel, de sous race. Un homme sans palpitation n'est qu'une machine, un poupon désarticulé. Et un homme qui ne vit que par les battements de son cœur, alors? Certains vous diront qu'il n'y a rien de plus beau, de plus juste. D'autres se préserveront de tout commentaire, se contentant de vous fixer sans sourciller. D'autres en revanche, vous hurleront qu'il n'y a rien de plus honteux, de plus condamnable. Les sentiments, ils nous contrôlent, ils nous habitent et décident à notre place. Ils sont le centre de gravité, le point G, l'axe principal, l'équilibre vital. On a beau les dissimuler, se mentir à soi-même ils sont là, plus forts que tout, plus dévastateurs qu'un ouragan car ils sont à l'intérieur et règnent en maître dans notre corps et dans notre âme. L'être humain est faible face à l'appel du cœur, d'où qu'il provienne. C'est tous les jours un combat, avec des victoires, mais aussi de nombreuses défaites. Des claques, des déchirures et des destructions. Cette sensation que notre existence prend fin, qu'il ne nous reste plus rien. Quelques instants de répit aussi, des émotions saisissantes, un tendre drapeau blanc. Un nouvel espoir, une nouvelle route à suivre. Et puis qui sait, la pluie après le beau temps?

« Selon une légende, il est un oiseau qui ne chante qu'une seule fois de toute sa vie, plus suavement que n'importe quelle créature qui soit sur terre. Dès l'instant où il quitte le nid, il part à la recherche d'un arbre aux rameaux épineux et ne connaît aucun repos avant de l'avoir trouvé. Puis, tout en chantant à travers les branches sauvages, il s'empale sur l'épine la plus longue, la plus acérée. Et en mourant, il s'élève au-dessus de son agonie dans un chant suprême dont la vie est le prix. Le monde entier se fige pour l'entendre, et Dieu dans son ciel sourit. Car le meilleur n'est atteint qu'aux dépens d'une grande douleur... Ou c'est du moins ce que dit la légende. » L'emblème, ce qui en fait la particularité. A en croire les Anciens ce fameux rameau doré se trouverait à Athens, en un lieu secret. Cette légende a permis à la ville de s'attirer le titre de Ville Romantique par Excellence. Des milliers, des millions de personne se déplacent chaque année pour fouler ce sol sacré, ressentir la magie de l'amour. Les résidents permanents, au nombre de 3 452, ont des avis mitigés quand à cette rumeur. Mais qu'importe. Athens est située aux abords de la rivière d'Arkansas au sud-ouest des Etats-Unis, à une trentaine de kilomètres de Conway. Réputée pour sa tranquilité et son esprit familial, Athens est un quartier anglais modeste au passé mystérieux.

Son climat est plutôt subtropical humide, avec des hivers plutôt doux mais ponctués parfois de vagues de froid et des étés chauds et humides. L'Etat de l'Arkansas doit son nom à la tribu des Arkansa, des indiens Quapaws. Il forma un territoire dès 1819, mais ne devint État qu'en 1836. Il fit partie des États confédérés d'Amérique du 6 mai 1861 jusqu'à la fin de la guerre de Sécession en 1865.

« Croyez-moi, je n’ai jamais souhaité être un sang mêlé. Si vous lisez ces lignes parce que vous soupçonnez en être un, vous aussi, écoutez mon conseil : refermez ce livre immédiatement. Prenez pour argent comptant le mensonge que vos parents vous ont raconté sur votre naissance et tentez de mener une vie normale. Une vie de sang mêlé, c’est dangereux. C’est angoissant. Et, le plus souvent, ça se termine par une mort abominable et douloureuse. Si vous êtes un gamin normal qui avez ouvert ce livre en pensant qu’il s’agissait d’œuvre de fiction, parfait. Poursuivez votre lecture. Je vous envie de pouvoir croire que rien de toute cette histoire n’est jamais arrivé. Mais si vous vous dans ces pages – si vous sentez quelque chose remuer en vous – arrêtez tout de suite de lire. Il se pourrait que vous soyez des nôtres. Or dès l’instant où vous saurez, il ne leur faudra pas longtemps pour vous percevoir, eux aussi, et se lancer à vos trousses. Je vous aurai prévenu, ne dites pas le contraire. » Percy Jackson