Lucas Christophe Landstreet

♪ nom : Landstreet
♪ prénom(s) : Lucas Christophe
♪ âge : 18 ans.
♪ date&lieu de naissance : 06 Juillet 1992 à Lima
♪ nationalité : Americaine
♪ statut : Celibataire
♪ groupe : McKinley's students

It's A love story

Cela fait des jours que le jeune homme du nom de Lucas Cristophe Landstreet attend cela. En effet, sa psychologue partant en congé maternité, le jeune homme n’a pas eu de visite régulière chez une personne extérieur à sa vie, à qui il pourrait raconter toute sa vie sans avoir honte. Il faut dire qu’il doit y avoir des cas pire que lui dans les cabinés de Psychologue. Enfin bref, aujourd’hui, une remplaçante du Docteur Williams devait arriver et donc le jeune homme avait rendez vous juste après son entraînement de football américain quotidien. Bien qu’il n’avait pas voulu consulter un psychologue lorsqu’on lui en avait conseillé un, maintenant que c’est le cas, il avoue haut et fort que ça l’aide beaucoup à aller de l’avant depuis la perte tragique qu’il a connu. « Le Docteur Wilson est prête à vous recevoir, vous pouvez y aller ». Après avoir remercié la secrétaire du cabiné que le jeune homme voyait à chaque fois qu’il venait, le jeune entra dans la salle où se déroule toute les confessions de ce dernier. « Installez vous, je vous en prit ». Ce fut bizarre pour le jeune homme de voir une autre psy’, cela voulait donc dire qu’il devait donc tout recommencer à parler de sa vie, des choses qui sont d’ailleurs très difficile pour lui de raconter, alors une seconde fois serait peut-être dur. Il espérait, ne pas être obligé, mais sa nouvelle psychologue ouvra une nouvelle fois la bouche pour dire « Madame Williams m’a donné ses dossiers. J’ai un peu étudier votre cas… » Elle parlait de lui comme si c’était un patient de l’hôpital psychiatrique le plus proche, non, Lucas n’est pas fou, il a seulement connu une période très difficile, c’est tout. « … Et j’aimerais beaucoup que vous me racontiez tout, il y a malheureusement que des notes, et je veux vraiment comprendre votre vie » Mister Landstreet n’aime pas du tout le ton qu’elle utilise avec lui, mais tant pis, il commença donc à raconter l’essentiel de sa vie. « Je me nomme Lucas Cristophe Landtreet. Mes parents m’ont donné ce prénom car ils trouvaient que cela m’allait bien paraît-il. Quand à mon second prénom, ma mère avait un frère dont elle était très proche. Malheureusement, celui-ci est mort quelques mois avant ma naissance d’une tumeur au cerveau. Je suis arrivé sur cette terre en même temps que ma sœur jumelle, Victoria, un certain 06 Juillet 1992, ici à Lima Dès ma naissance, je n’ai manqué de rien. Il faut dire que ma mère est la petite fille d’un ancien sénateur de la ville de New York, et être sénateur à New York, croyez moi ce n’est pas rien, et mon père est chirurgien plasticien. D’ailleurs c’est lui qui a opéré la plupart des stars qui sont refaite. Bref, tout cela pour dire que j’avais une vie de rêve, d’ailleurs j’ai toujours adoré cette vie. Et pourtant, il faut dire que lorsque j’étais encore tout jeune, j’étais seulement en compagnie de ma jumelle chérie et de notre nounou car nos parents n’avaient pas vraiment le temps à nous consacrer. Notre père à cause de son boulot et de ses voyages d’affaires entre ici, Los Angeles, Paris et New York et quand à ma mère, qui ne travaillait pas, elle faisait du bénévolat pour organiser les meilleures soirées branchés de la ville, où elle y allait tout le temps. Mais on avait l’habitude, alors pour nous c’était comme si c’était tout à fait normal. Enfin bref, neuf ans après notre naissance, nous eurent la surprise d’apprendre qu’on serait grand frère et sœur puisque notre mère tomba enceinte, d’une fille du nom de Melinda » Dit alors le jeune homme, assez difficilement, comme s’il avait un nœud dans la gorge. Madame Wilson le remarqua très bien, puisqu’elle se mit à lui dire « Vous savez, c’est normal que vous ayez du mal à en parler. Mais pour faire le deuil, il est essentiel que vous arrivait à aller de l’avant ». Il le savait, mais c’était tout simplement plus facile à dire qu’à faire.

Flash Back, deux ans en arrière ;

Lucas et Victoria avait eu seize ans quelques semaines plus tôt, et le jeune homme, tout content, avait proposé à ses deux sœurs d’aller faire un tour avec la voiture de leur parent, maintenant qu’il venait d’avoir son permis. Il était vraiment tout content de pouvoir enfin conduire comme il le pouvait, sortir quand il voulait, allait où il allait, enfin quand il aura sa propre voiture. « Melinda chérie, tu peux mettre ta ceinture s’teuplait », sa jumelle, aimant toujours le contredire, lui dit « Roo, fait pas ton rabat-joie frangin. C’est pas parce que monsieur à réussit son permis contrairement à moi qu’il décide, on doit être rentré dans dix minutes de toute façon, il va rien lui arriver ». La jeune homme ne dit rien de plus, il savait qu’avec sa sœur jumelle qui voulait toujours avoir le dernier mot, c’était peine perdu. En même temps, qui pouvait prévoir ce qui allait se passer par la suite ? Un camion grillant le stop alors qu’ils allaient s’engager sur la route en face, des freins qui devaient être changé par la père de famille depuis déjà des semaines, un accident, une mort, des nombreuses peines immenses. En effet, alors qu’ils n’avaient rien demander de tout cela, tout ses évènements se produisent en seulement quelques secondes, une erreur, et même pas une erreur de la part du jeune homme. Ils étaient quatre fautif dans cette histoire ; Lui-même, car c’est quand même lui qui conduisant, le chauffeur du camion, qui avait grillé le stop alors que ce n’était pas son droit, sa sœur parce qu’elle avait dit à sa sœur que ce n’était pas la peine qu’elle mette sa ceinture, et le père, qui n’avait pas écouté à temps son garagiste et qui n’était pas aller faire changer les freins. Pourtant, tout le monde a mit la faute sur lui. Comme si ce n’était pas déjà éprouvant d’avoir perdu sa sœur, maintenant tout le monde mettaient la faute sur lui, même lui-même.

Fin du Flash Back :

« … La perte de ma sœur était déjà affreuse pour moi, mais en plus savoir que c’était à cause de moi était une peine encore plus lourde. C’est pour cela, que dès que j’ai pu, je suis partit de chez moi et j’ai changé de lycée pour commencer une nouvelle vie entre guillemet. L’ambiance à la maison suite au décès de ma petite sœur était bien trop lourde à porter et puis mes parents étaient encore plus renfermés dans leurs activités respectifs tandis que ma jumelle ne voulait plus m’adresser la parole… », « Je pense que c’est assez difficile pour vous, même après toute ses années. Alors… pourquoi pas me parler de votre vie au lycée. Que se passe-t-il pour vous la bas ? Êtes vous populaire ? Y a-t-il eu des personnes qui vous aide plus que d’autres ? » demanda alors la jeune psychologue pour changer de sujet, elle savait très bien que ça lui faisait plus du mal qu’autre chose. « Changer de lycée m’a beaucoup aidé à faire le deuil de ma sœur, du moins en partie. Grâce à mes talents de sports, où j’excelle surtout au football comme je vous l’ai déjà dit, je suis devenu vite populaire. J’adore mon équipe et surtout le basket, c’est toute ma vie désormais, ça m’a permit de me changer les idées quand je n’allais pas bien du tout. Bien sur, bien que j’étais à Kennedy avant, je n’ai pas coupé totalement les ponts avec les personnes qui sont la bas même si les deux lycées sont supposé se détester. Surtout que ma meilleure amie est la bas et je n’ai tout de même pas couper les ponts avec elle. Je l’adore, j’ai même des sentiments pour elle bien que je le cache à quiconque qui me le demande, surtout à elle car je ne veux pas que notre amitié change. » Le jeune homme fini enfin de parler, il s’était beaucoup plus confié qu’il ne l’aurait cru. Apres quelques minutes, il partit pour rentrer dans son studio. Il repensa à Trycia, et aux sentiments qu’il a à son égards, cela risque de changer beaucoup de choses…