Contexte: welcome to lima !

La caméra tourne ? Parfait ! Je me présente Eloïse Loveless, étudiante en troisième année de journalisme. Vous vous demandez peut-être où nous sommes. Et bien chers téléspectateurs, nous voilà en direct de Lima, dans l’état de l’Ohio. Dans le cadre d’un devoir à rendre à l’université, je suis venue ici vous présenter la ville de mon enfance. Lima n’est pas une ville aussi grande que New York, Miami, San Francisco ou que sais-je encore. Mais cette ville, bien qu’elle ne soit pas très grande et très célèbre, est la ville dans laquelle j’ai grandis et qui m’a été si difficile à quitter quand j’ai dû partir pour faire mes études. Aujourd’hui, Lima compte à peu près 40 000 habitants. C’est une ville assez active d’ailleurs, des fêtes en tout genre étaient souvent organisées pour les petits comme pour les plus grands ! Je pourrais m’étendre très longtemps sur la vie en elle-même, mais ce que je veux vous montrer avant tout c’est le lycée Mckinley. Autrefois, quand j’étais encore lycéenne, on pouvait trouver deux lycées en confrontation. Mais aujourd’hui il ne reste que Mckinley, et ce n’est pas plus mal. Je vais donc vous parler de Mckinley, où je me trouve d’ailleurs au moment même. Comme dans tous les lycées, on trouve ici une équipe de football, et des cheerleaders. Les deux sont souvent associés, et sont aussi les personnes les plus populaires du lycée. J’étais moi-même cheerleader dans mes jeunes années. Bien évidemment, il y a une multitude d’autres clubs, tel que le club d’abstinence, le journal de l’école, ou encore l’association des élèves. Et le glee club. Je crois que depuis que je suis partie, les choses n’ont pas vraiment changé pour eux. Ils sont toujours considérés comme des losers, même si ça s’arrange un peu.. Les murs de Mckinley me manquent vraiment, parce que les trois années que j’ai passé ici ont été les plus belles de ma vie pour l’instant. Mais entre vous et moi, on sait tous que le lycée peut être le paradis comme l’enfer, tout dépend de votre place dans l’échelle sociale. Sur ce, il est temps que je vous laisse, chers téléspectateurs. Merci de m’avoir écouté, et à bientôt je l’espère. Et on couuupe !