looser like me?

Décrire le caractère de quelqu'un. C'est comme décrire sa personnalité, ce qui est un exercice extrêmement difficile. Et il l'est encore plus quand cette personne s'avère être sois même.

Qui-suis-je ? Comment suis-je ? Voilà de grandes questions, qu'il me serait bien difficile d'y répondre. Les premiers mots qui me viennent à l'esprit sont : Complexe, car je suis un être humain et je crois que la personnalité des humains et d'une des plus complexes au monde. Double personnalité : Car oui, j'en ai deux.

Je suis un peu comme une maison, j'ai une façade. La partie de moi que seul les inconnus voient. Et l'intérieur. Où comme dans un logement : seul les habitants y ont droit, autrement formulé seul les habitants de mon cœur y ont droit.
Avec les inconnus, ou plutôt mes connaissances, je suis quelqu'un de froid. Orgueilleux et arrogant à souhait. J'en deviens vite agaçant. Ambitieux et rusé, je suis prêt à tout pour arriver à mes fins. Coup-bas compris.

Mais avec les rares personnes qui ont réussi à entrer dans mon cœur, comme ami ou petit ami. Je suis quelqu'un de drôle. Doux et prévenant quand il le faut et, je l'avoue un peu sarcastique. Je suis aussi quelqu'un de très loyal. Le chemin qui mène à mon cœur est très long et difficile à trouver. Mais une fois qu'il est terminé et qu'une personne y arrive. Je suis très loyal envers lui et j'ai une grande confiance en mes amis. D'ailleurs, il est déconseillé de me trahir si je vous considère comme telle. Cela en va de votre santé !

Voilà, je crois que j'ai tout dit sur moi. Bien que je ne sois pas sûr que ce soit vraiment juste. Après tout, ne dit-on pas qu'on ne se connaitra jamais complètement ? Bien que je ne sois pas du genre à croire aux dictions...

***

J'ouvris lentement les yeux afin que la lumière du soleil filtrant à travers la fenêtre ne les agresse pas. Mais pourquoi n'ai-je jamais modifié de place à mon lit ? Voilà la question que je me posais tous les matins ... Pour l'oublier quelques instants après.

Me levant au ralenti de mon lit, les yeux à demi fermés de sommeil. Je me dirigeais vers la salle de bain pour prendre une bonne douche froide. Quoi de mieux pour finir de me réveiller ?

J’en sortis quelques instants après, frais comme une fleur. Mes cheveux d'un noir de jais trempé, laissant quelques gouttes tomber sur le plancher sous mes yeux verts noisettes.

- *Eh bien, la domestique l'essuiera * Pensais-je, Je n'allais quand même pas le faire moi-même ...

Me dirigeant vers mon dressing, autrement dit, la pièce suivante. Une serviette blanche sur les hanches. Je pris les premiers habits qui passèrent sous mes mains : une chemise noire, un pantalon-slim de la même couleur et des chaussures d'un vert si foncé qu'on pourrait le prendre pour du noir, le tout avec une veste grise foncé...

Après m'être habillé, je pris le chemin vers le miroir de l'autre côté de la pièce, ce qui n'était franchement pas de tout repos. IL fallait y aller tout en sautillant pour éviter de marcher sur le tas qui s'était amassé sur le sol : des vêtements, une boite de Pizza, des vêtements, deux canettes de soda, des vêtements et ... encore des vêtements. Il fallait avouer que je n'ai jamais été un grand homme de ménager. Je suis bien trop désordonné et flemmard pour ça. Et puis, la domestique allait nettoyais tout cela plus tard, c'est son travail, non ?

Après une grande aventure. Se résumant à échapper des vêtements sauvages. Je parvis enfin au miroir. Pour remarquer que je n'étais pas déçu, mes cheveux avait fini par sécher et avait leur coupe habituel - Coiffé dans tous les sens -, Mes yeux brillaient d'arrogance, mon regard dédaigneux et mon sourire narquois était déjà en place. Et ma chemise légèrement entrouverte sur mon torse ne dérangeait point la sculpture de mon corps. Tout comme mon pantalon allait à merveille avec mes pieds musclé. Il fallait avouer, je donnais beaucoup d'importance à mon physique ... beaucoup trop.

Après avoir mis mon air le plus arrogant sur mon visage, j'étais enfin prêt à sortir, je trouvais la femme de ménage s'affairait dans le couloir et se dirigeait vers ma chambre. Je lui lançai un « ce n'est pas trop tôt » quand elle me dépassa pour entrer et elle rougit fortement.

« Je suis désolé Monsieur »

It's A love story

Mon histoire ? Quoi de plus banal. Je n’ai jamais eu quelques choses de spécial, j’ai bien réussi dans ma vie, certes. Mais c’est plutôt grâce à mon père et sa fortune.

J’ai toujours eu une grande capacité à mémoriser les choses, je pourrais ainsi vous raconter ma vie dans les moindres détails. Mais j’ai bien peur que sa ne soit bien ennuyeux pour vous. Alors je vais vous raconter dans les grandes lignes.

Je suis l’aîné de la riche famille des Prevc. Mon père était un célèbre skieur en Slovénie, mon pays natal et n’a pas été très présent pour moi pendant la première année de ma vie, vu qu’il était beaucoup trop occupé à se pavaner devant plein de monde et à skier tout le temps. Ce ne fut qu’à la naissance de ma petite sœur Kayleigh qu’il se décida enfin à arrêter ça carrière. Cette dernière était sans doute la préféré de mon père, mais il est vrai qu’il est difficile de lui en vouloir quand on voit la bouille de ma petite sœur. Elle est complètement adorable, je l’adore.

Pour ma part, j’ai toujours été plus proche de ma mère. Dans les premières années de ma vie, j’ai essayé le ski, dans de vaines tentatives de me rapproché de mon père. Mais je laissai bientôt cette discipline à ma sœurette qui semblait aimer ce sport ridicule. Ma mère me disais alors : « Tu sais fistons, y a plein d’autres sport ! tu peux essayer le foot ! »

Le foot, j’aimais beaucoup ce sport, mais voilà : dans mon cercle d’ami en ce temps là, il n’y avait que des enfants de célèbres skieur qui n’en avait cure de ce sport américain. J’essayais, parfois, de jouer tout seul. C’était difficile mais je trouvais cela agréable.
C’était le quinze janvier de l’an 2002 que ma vie changea de tout au tout. J’était installé devant la table, attendant sagement que ma mère pose mon petit déjeuner devant moi. Celle-ci s’affairait tranquillement dans la cuisine. On était seul, mon père étant allé réveiller ma petite sœur.
« Chéri ? »

Je levai les yeux vers ma mère. Son visage doux d’habitude serein était teinté d’une expression inquiète, elle posa devant moi un bol de céréales aux chocolat et s’assit en face de moi.
« Chéri, j’ai une nouvelle à t’annoncer … »

Ça semblait difficile pour elle de me dire ça, elle me tint la main et la serra. Essayait-elle de se réconforter ou bien de me réconforter ? Je ne disais toujours rien, ma mère m’inquiétait.
« Ecoute chéri, je sais que tu as beaucoup d’ami ici … »

Waouh, c’était la première fois qu’elle disait autant de chérie, et surtout la première fois qu’elle semblait si mal à l’aise.
« Ton père et moi avons décidé qu’on aller habiter aux Etats Unis ».

Tout d’abord, je ne bougeai pas. J’attendais simplement que mon esprit enregistre cette information, puis lentement, très lentement, un sourire naquit sur mes lèvres. Ma mère me regarda bizarrement, comme ci elle n’arrivait pas à croire ce qu’elle voyait :

« Ça ne te dérange pas, mon chéri ? »
« Non, je déteste vivre ici ».

***

« Allez raconte ! »
« Non, ça ne te regarde pas ! »
« Rooh … Je suis ton grand frère, tu peux tout me raconter ! »
« Non Andrew ! Lache moi » !

J’ébouriffa les cheveux soigneusement coiffé de ma sœur en pouffant, celle-ci s’éloigna de moi, prenant un air faussement vexé et ouvrit un carton avant d’en sortir une pile de CD qu’elle posa sur une étagère.
J’avais eu hier mes dix huit ans, et comme je le voulais depuis que j’ai quinze ans, j’ai enfin eu mon appartement à moi. Pour l’occasion, ma sœur est venu m’aider à le ranger.

J’adore ma sœur depuis qu’elle est né, je crois que ceci est une information public. Mais depuis qu’elle est entrée au lycée de McKinley, on se voit de moins en moins. Ce que je trouve vraiment dommages, les moments de complicités qu’on avait ensemble me manquent, ses discussions assez rigolotes et ses histoires d’adolescentes aussi. J’ai toujours était plus mature que la plupart des garçons de mon âge, peut être un peu trop. Je crois que j’ai un peu sauté mon adolescence et je l’ai toujours vécu à travers ma petites sœur, maintenant qu’on ne se parle plus beaucoup, je ressens comme un vide. La regarder vivre me manque vraiment.

« Alors ? Allez ‘Kay, tu ne va pas me cacher ça ?»
« Bon d’accord t’as gagné … c’est assez compliquer en faite … »

J’ébouriffai mes propres cheveux, dans un geste voulant clairement dire que j’allais faire de même avec les siens si elle ne continuait pas. C’est qu’elle pouvait être assez muette, mais elle tenait trop à sa coiffure parfaite pour résister.

« C’est Jay ! C’est Jay ! Ne t’approche pas Andrew ! »
Mais moi, je n’avais aucunement envie d’avancer, de toute façon. Jay ? Le petit Jay ? Je me souvenais de ce garçon, tout peureux qui l’accompagné partout quand ils avaient dix ans. Il était un récent orphelin à ce moment là et il s’accrochait à ma ‘Kay comme à une bouée de sauvetage.
C’était ce gamin là qui tourmentait l’esprit de ma sœur ? Je dois avouer qu’il est pas mal dans son genre, enfaite il est vraiment sexy … donc je pouvais aisément comprendre ma sœur, dans un sens …

« Il est plutôt mignon, dans son genre »
Ma sœur me regarda un instant, avant de me lancer un regard d’avertissement :
« Tu le touche pas, hein ! Gros pervers ! »
« Ouch »

Je l’avais bien mérité, celle là. C’était il y a trois ans, j’avais quinze ans et j’ai couché avec un mec. Comment aurez-je pu savoir que ma sœur en pinçait pour se mec en question ? Je ne l’aurais même pas regardé, si elle me l’avait dit.

« Allez, je rigolais … Mais tu devrais passer voir maman, de temps en temps. »
Ma mère aussi, me manquait. Elle me manquait vraiment, mais nos relations aussi se sont refroidi depuis que j’ai rejoins Kennedy. Je vivais à l’hôtel la plupart du temps avant d’acheter cette appart. Je n’ai pas vu ma mère depuis le début de l’été.

« Ah quoi bon, elle me parle à peine »
« Passe la voir et ne discute pas, Andrew »
« Oui M’dam »

behind the screen

PSEUDO : Anonymate. AGE : 16 ans. AVATAR PRIS : Penn Badgley. COMMENT AS TU ATTERI ICI : Key voulait son joli scénar %D CE QUE TU PENSES DU FORUM : Zénial ! CODE : Ok by Blondie H. ♥ FICHE : [X] Terminé [] En cours UN PETIT MOT : Je m'aime !