Invité
| Sujet: Melany H. Amylian ♦ L'amour a son instinct, il sait trouver le chemin du coeur. Jeu 14 Avr - 22:27 | |
| Melany Helena Amylian
♪ nom : Amylian ♪ prénom(s) : Melany, Helena ♪ âge : 18 ans ♪ date&lieu de naissance : 7 septembre 1992 à Dallas, Texas. ♪ nationalité : Américaine ♪ statut : Célibataire ♪ groupe : Kennedy's Students
looser like me?
Melany possède un esprit assez simple, elle aime l’art, comme beaucoup de femmes de son âge, et elle adore tout particulièrement écouter les mélodies jouées au piano. Elle a d’ailleurs créé de nombreuses chansons avec son piano, qu'elle n'ose faire écouter à personne. En dehors de la musique, elle excelle plus particulièrement dans le domaine du dessin, elle aime passer du temps à dessiner, peindre, crayonner tout simplement les choses qui l'entourent. Durant son temps libre, elle apprend la guitare, seule, histoire d'occuper ses nuits et ses moments de solitude. Melany est bien loin d'être une virtuose, certes, mais elle s'en sort chaque jour un peu mieux. Sa voix a toujours été magnifique, mais, étant timide de ce côté là, la lycéenne n'aime pas trop exposer son talent musical. La jeune femme ayant un grand sens de la famille et de l'amitié, elle affectionne le fait de passer du temps en compagnie des siens, autrement dit sa marraine et ses quelques amis, c'est d'ailleurs pour cela qu'il est très rare de la voir traîner chez elle, elle est tout le temps dehors, collée à ses amis les plus proches (Rossae plus particulièrement, cette dernière étant sa meilleure amie.) . Autre détail important dans ses hobbies, la natation. L'eau est toujours l'endroit où elle se réfugie lorsqu'il s'agit de décompresser, de se couper du monde et d'oublier tout ce qui l'entoure. Alors, elle se sent apaisée, calme, et oublie tous les tracas qui peuvent la prendre lorsqu'elle passe ses journées à courir partout.
En ce qui concerne son physique, ce n’est pas dans les magazines ou sur les podiums que vous pourrez apercevoir la frimousse de Miss Amylian. Pourquoi ? Déjà parce qu’elle n’atteint pas la taille recommandée des mannequins, du haut de son (petit) mètre soixante, qui lui parait ridicule, elle a encore beaucoup de marge avant de pouvoir se présenter, mais elle a de la chance le mannequinât ne se trouve pas dans ses ambitions. Par contre du côté de son poids et de sa silhouette il n’y aucun problème ! C’est impossible de trouver un poil de graisse, tout simplement parce qu’il n’y en a pas, ou presque pas, ses quelques rondeurs ont toujours fait son charme. Mince et svelte, Melany n'a jamais eu aucun problème de poids, sa mère lui a toujours montré de quelle manière devait-elle mener une vie saine. Brune, elle a les cheveux assez longs et quelque peu ondulés. Il lui arrive de changer de couleur de cheveux lorsque l'envie lui prend. Les traits de son visage sont très fins, sa peau est légèrement halée, d'où le fait que Melany bronze sans grandes difficultés. Des sourcils longs et fins, entourent ses yeux marron clairs et perçant, un nez droit et assez long. Melany a des lèvres fines et d’une teinte rosée absolument charmante. Elle sait qu'elle a un certain charme qu’elle ne maîtrise pas et ne connaît pas, nombreux sont les hommes qui désirent l'avoir dans leur lit, et qu'elle rejete. Car bien qu'étant extravertie et fetarde, elle n'en espère pas moins rencontrer un jour le grand amour. Pour elle son prénom rime avec banalité, elle se trouve tout à fait ordinaire. Chacun de ses mouvements sont gracieux, élégants et agiles, étant une danseuse de haut niveau, c'est une adolescente douce et attentionnée envers les autres.
It's A love story
C'est un matin d'été, au début du mois de septembre de l'année 1992, que moi, Melany Helena Amylian, ai décidé de pointer le bout de mon nez, à Dallas, au Texas. A mes côtés, mes parents, Stella et David Amylian, qui, en voyant mon regard noir et si doux, décidèrent de m'appeler Melany. Melany en rapport avec le grec Melanos, signifiant la couleur noire. C'est ainsi, dans cet endroit paisible, que la petite demoiselle que je suis poussa ses premiers cris de nourrisson. Tout était parfait aux yeux de mes parents, ils avaient longtemps lutté pour réussir à avoir cet enfant tant désiré. Stella avait redouté une naissance difficile. Rien ne pouvait empêcher cette paranoïa de s'immiscer en elle puisqu'elle en avait littéralement bavé pour tomber enceinte. Elle avait également du être très vigilante pendant toute sa grossesse, son corps avait visiblement eu du mal à supporter l'intrusion de ce nourrisson et avait provoqué de belles frayeurs aux futurs parents. Mais tout avait été parfait. Du moins, aussi parfait que peut l'être un premier accouchement. Stella n'avait jamais eu aussi mal de sa vie, mais malgré tout je suis venue au monde sans encombres. En réalité, tout avait été parfait durant des années. Les quatre premières de ma vie. Notre petite famille avait déménagé lors de sa deuxième année pour Los Angeles dans la joie et la bonne humeur. Tout allait pour le mieux. J'étais entourée de deux parents qui m'aimaient plus que tout, avait tous les jouets dont pouvait rêver n'importe quel enfant. Stella me considérait comme son petit poupon. Passant des heures à s'occuper de moi malgré son travail, elle affichait alors le portrait d'une mère heureuse et comblée. David aussi, me prenait dans ses bras dès son retour du travail, et passait des heures à me regarder, un sourire béat sur les lèvres. "Bébé Linda", m'appelaient-ils, car ils disaient à tout le monde que je suis le plus beau bébé du monde.
Mais bien trop jeune à l'époque, je n'ai pas remarqué le changement dégradant qui s'opéra chez ma mère et mon père alors que je n'avais que trois ans. J'étais petite, insouciante, et continuais de vivre et de sourire à tout-va, pensant avec mon esprit innocent que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Voilà pourquoi le choc fut terrible lorsque, un matin, je me suis réveillée et je n'ai pas vu mon père lire le journal dans son fauteuil préféré, et que ma mère ne se trouvait plus dans la cuisine à me préparer ma boisson chocolatée. Ce que j'ai trouvé en revanche ne put que déstabiliser au plus haut point la petite fille que j'étais, du haut de mes quatre ans. Des policiers, ambulanciers, tant d'hommes et de femmes en costumes que je me mit à pleurer sans comprendre pourquoi tant de personnes se trouvaient dans ma maison, LA maison de mes parents, notre chez nous. Au sol, deux corps étaient recouverts d'un drap blanc. Je fut prise en charge par une femme que je n'avais jamais vue, et j'ai lutté longuement avant de me décider à la suivre. Les premiers jours, on se demanda s'il fallait me placer en famille d'accueil, sans même m'expliquer la raison du "départ" de mes parents. Néanmoins, j'avais déjà compris seule que jamais, non jamais, je ne les reverrais. Mais pourquoi ? Cette question resta en suspens pendant de nombreuses années pour moi.
Au bout de quelques jours, ma marraine, une amie proche de ma défunte mère, vint me prendre sous son aile. Élevant la petite Texane que je suis comme sa propre fille, elle me vit grandir en ressemblant de plus en plus à mes parents, tant physiquement que moralement. Les années passèrent, et, bien que prenant le soin de ne réellement m'attacher à personne, je dois bien avouer que me suis attachée à elle comme à la mère que j'ai perdue. Aussi douce et tendre qu'elle, je ne pouvais que comprendre pourquoi une amitié si pure liait les deux femmes avant même que je naisse. Mon goût prononcé pour la musique émut tant Isabella - ma marraine - qu'elle décida de m'encourager dans cette voie, pour que je laisse libre cour à ma passion pour l'art. Néanmoins, j'étais perplexe, ayant toujours douté de ma personne. A 12 ans, je me considérais comme une gamine banale, sans talent, qui appréciait l'art et l'écriture. Elle, ne cessait de me répéter que j'avais une voix d'or et des mains nées pour jouer sur un instrument de musique et pour tenir un stylo. Alors, avec ma marraine, nous quittâmes Los Angeles, en quête d'une ville calme où s'installer. Ainsi, j'ai grandit à partir de mes douze ans et demi à Lima, dans l'Ohio. Je devint une belle adolescente, mais également une adolescente torturée, qui ne cessait d'écrire des chansons dans lesquelles je me posait des questions sur la vie, et surtout la mort. La mort de mes parents, pour être plus précise. A force d'interrogations, Isabella finit par céder. Et j'ai appris enfin la vérité a propos de la mort de mes parents : Endettés jusqu'au cou, ils avaient fini par en payer le prix, ce qui me blessa profondément. Durant les mois qui suivirent, je me suis plongée dans un profond mutisme. Je me sentait coupable d'avoir survécu, et pas eux. Peut-être que s'ils s'étaient criblés de dettes, c'était pour m'élever, moi, Melany ? Après tout, élever un enfant quand on est de jeunes parents peut conduire à des fautes irréparables ... Les mois passèrent, et je sombrais peu à peu dans l'anorexie. Isabella tenta en vain de me faire revenir à la raison. Mais je me trouvais déjà tellement loin ...
Alors ce qui devait arriver arriva : On m'hospitalisa à mes 16 ans, contre mon gré. Folle de rage et de tristesse, je ne parlais à personne, crachais au visage de ceux qui voulaient m'aider, pleurait toutes les larmes de mon corps lorsque je me retrouvais seule. Mais tout cela ne changerait rien : Quoi qu'il advienne, mes parents étaient partis. Partis sans moi. Un jour, Isabella vint dans ma chambre. J'étais encore endormie, chose rare depuis mon hospitalisation. Elle y déposa une lettre, où elle y ouvrit son cœur, ainsi que celui de mes parents : Mes parents m'aimaient de tout leur cœur, mais étaient déjà endettés depuis des années. Ils désiraient changer après ma naissance, mais n'en eurent pas le temps. Le malheur voulu qu'il y ai vengeance, et la chance, elle, m'épargna. Par miracle, ils n'étaient pas entrés dans les chambres de l'étage. Par miracle, j'avais survécu. Et pour eux, je devais continuer de me battre, et non pas me laisser mourir comme je le faisais depuis des mois. En lisant ces mots, mon caractère changea du tout au tout, et je pris la décision de me ressaisir. La lutte fut longue et corsée, mais néanmoins, je parvins à redevenir une étudiante stable et en pleine santé. A l'âge de dix-sept ans, je suis retournée chez ma marraine, qui, après une longue scène de larmes, d'excuses et d'émotion, me fit comprendre que je serais toujours la bienvenue chez elle. Enfin, j'ai intégré l'école de Kennedy, m'y fit des amis, comme toute adolescente. Mais mes vrais proches se comptent actuellement sur les doigts de la main. Sur le pouce, en vérité : La seule jeune fille à laquelle j'ai raconté toute mon histoire se nomme Rossae S. Parker. Cette étudiante, dynamique, douce, généreuse, est la seule et unique amie que je connais par cœur, et qui me connait par cœur. Quand je ne suis pas en train d'errer seule dans la nature, où que Rossae n'est pas greffée à son petit ami, Avery, je sort avec elle, et quand nous ne sommes pas ensembles, nous restons en communication téléphonique parfois pendant des heures. Elle et Isabella sont, pour l'instant, les deux seules personnes auxquelles je me suis attachée. Car, malgré tout, j'ai encore peur de perdre ceux que j'aime.
Aujourd'hui, à dix-huit ans, je m'intègre toujours lentement dans le lycée, me faisant discrète, calme, posée. Je n'aime pas aborder le passé, qui est un sujet épineux; une part de mystère m'entoure, moi, Melany Amylian, une lycéenne qui, bien qu'étant une jeune fille extravertie, se révèle fragile et douce.
behind the screen
| PSEUDO : Mélanie AGE : 17 ans AVATAR PRIS : Demi Lovato COMMENT AS TU ATTERI ICI : Par Rossae ♥ CE QUE TU PENSES DU FORUM : A première vue, j'aime le design, l'ambiance, le contexte. 10/10 ! CODE : Looser Like Me ! FICHE : [X] Terminé [] En cours UN PETIT MOT : Adiou !
|
Dernière édition par Melany H. Amylian le Ven 15 Avr - 11:14, édité 7 fois |
|