Comment dire, les clopes et moi ca ne fait plus qu'un, c'était ma vie je ne pouvais plus m'arrêter, je ne pouvais pas vivre sans elles. J'avais déjà tout essayé et rien n'avait marché, donc je vivais avec elle. J'avais de l'argent donc ce n'était pas le problème c'était plutôt la santé, beaucoup m'engueulait pour que j'arrêtais mais rien ne changeais je continuais, je ne pouvais plus m'en passer et je ne fumais pas que ça, je fumais de tout mais quand je dis tout, c'est vraiment tout. Dès que j'avais une pause ou même pendant les cours je partais au toilettes pour pouvoir fumer un coup et je retournais en cour genre de rien, je sentais la clopes mais personnes n'y faisait attention et de toute façon comme je disais j'en avais rien à foutre si on me disait quelques choses, j'en avais tellement entendue je ne faisais plus attention à ce qu'on me disait maintenant. Je suis étrange, je le sais mais ce n'est pas pour autant que je ne suis pas comme vous les autres élèves, je sais m'amuser, rigoler et tout sans avoir besoin d'alcool et tout le reste. Il faut arrêter de croire que je suis un drogué et un alcool car ce n'est pas du tout le ca,s c'est juste que j'en suis un peu accro mais ca personne voulait le comprendre et au final j'en m'en fichais complétement qu'on me critique car moi aussi je critiquais les autres personnes, j'étais comme je suis un point c'est tout. Donc j'étais sortis du bahut, j'avais pas finis les cours mais ce n'est pas grave je n'avais pas l'envie de rester encore en cour, je ne comprenais rien en ce moment, je dormais à moitié les professeurs parlaient chinois, la fatigue m'emportait de plus en plus à cause de la sortie de hier soir jusqu'à cinq heure du matin et je me levais à six heure du matin donc voilà pourquoi j'étais complétement cuit, j'avais bus, j'avais fumer et j'avais pas arrêté de dansé et j'avais dormis une heure seulement donc essayer de comprendre pourquoi je ne tenais plus de bout. J'étais partis dehors, j'avais comme à mon habitude allumé une clope et j'étais aller en direction du parking car une belle demoiselle m'attendait près de sa voiture. Elle ne faisait pas partie de cette école mais je m'en fichais. Elle voulait une clope je souriais et puis je m'approchais d'elle et juste pour l'énerver:

"-Hum je sais pas, tu sais c'est pas bon pour toi ma jolie :p. Moi de ma santé on s'en fiche, je vais très bien et j'irais très bien. Que toi ma jolie ta santé compte beaucoup plus que la mienne et tu es une femme donc tu es plus fragile, alors en aucun cas je te passerais l'une de mes clopes, tu n'a plus qu'à patienter pour en avoir une, sorry x)"