looser like me?

C’est derrière une bouille à croquer et un sourire angélique que se cache la plupart du temps Maëlys mais, la nuit tombée, son côté débauche, fêtarde prend le dessus et cela depuis un bon moment déjà. A première vue la jeune femme à l’air de quelqu’un de très timide et réservée mais en réalité, les apparences sont trompeuses. Il suffit juste de la connaitre, ce qui n’est pas bien difficile car elle accorde sa confiance au premier venu. De nature très bavarde, on la considère comme une grand gueule à qui il ne faut pas raconter ses secrets bien qu’elle fasse des efforts quand cela est primordiale ! Maëlys est souriante et dynamique, peut-être même un peu trop de temps à autre mais, elle sait remonter le moral à quelqu’un qui ne va pas bien. Elle adore être au courant de tout et savoir qu’elle est aimée et cela, même si elle a des ennemis. D’ailleurs, elle n’a qu’un mot pour décrire ce genre de personne : Jaloux. Malgré le fait qu’elle passe la plupart de ses nuits dans des boîtes de nuit ou des bars et qu’elle se réveille très souvent dans un lit qui n’est pas le sien au côté d’un bel inconnu, elle fait partie des personnes qui se sentent obligées de travailler pour obtenir de bons résultats, un bon métier et bien sur, pour la culture générale. Passionnée de danse comme de chant, elle adore passer du temps dans les karaokés et autres lieux dans ce genre. Maëlys est le genre de femme qui « prend la vie du bon côté et qui la croque à pleine dents » car, comme elle le dit si bien « On a qu’une vie, qu’une jeunesse ! ». Une vraie boule d’énergie qui ne demande qu’une chose, vivre au côté des personnes qu’elle aime le plus au monde. Pour elle, les amis sont essentiels, la famille également bien que ses parents l’ont quitté, la popularité est une chose dont elle souffrir, être au premier plan est l’une de ses priorités, la richesse et le luxe sont les choses qui passent en dernier. La demoiselle a du caractère, elle sait gérer son temps de divertissement et celui où il faut bosser.
Sinon, physiquement, on peut dire qu’elle est brune /SBAFF/, elle a les yeux d’un noir profond et un sourire magnifique. Maëlys a les traits fins, une silhouette dont la plupart des filles rêvent de posséder et n’hésite pas à jouer avec son avantage. Elle est de taille moyenne bien qu’elle soit plus grande que petite et fait très attention à son apparence. Miss Canzano adore les virées shopping, la plupart de son budget passe dans les fringues. Toujours habillée à la mode, elle n’hésite pas à porter mini short et talons aussi bien qu’une robe et des chaussures plates. C’est simple, elle porte de tout !

It's A love story

" L’absence ne tue l’amour que s’il est malade au départ. "

- Lys, descends tout de suite s’il te plait !
- Oui, j’arrive !

Après la mort de ma mère alors que j’avais deux ans, mon père me détestait ne supportant point la ressemblance qui m’unissait à ma mère. Il m’a déposé chez ma tante à Lima, sans un regard, un je t’aime, il est reparti en Italie et je n’ai jamais plus eu de nouvelles. Certains penseront que de ce fait, j’ai souffert d’une absence, un manque d’amour mais pas du tout, j’étais heureuse. Peut-être grâce au fait que je n’étais qu’une enfant ?! Je n’ai jamais vraiment eu besoin de l’amour de mes parents, je ne l’ai connu que très peu et je n’ai aucun souvenir du sourire de ma mère ou encore des bras de mon père m’enlaçant. Le peu de photos dont je disposais de ma défunte mère, j’évitais de poser les yeux dessus car la nostalgie et moi, ça faisait deux ! Quant à celles de mon père, toutes brûlées, il n’avait cas me donner des nouvelles après tout ! Bref, je vivais donc avec ma tante et mon cousin âgé de six ans de plus que moi. Je l’ai toujours considéré comme le frère que je n’ai jamais pu avoir. Il faut dire que la relation que j’entretenais avec lui était tout comme par contre, avec ma tante, ce n’était pas la joie et la bonne humeur. Nous étions toujours entrain de nous tirer dans les pattes et cela pour des choses complètement idiotes. Comme ce jour ci par exemple. Après qu’elle m’ait appelé, je descendis les escaliers puis, saluais mon cousin qui était entrain de prendre son petit déjeuné, je lui adressai un grand sourire.

- Il faudrait que tu ranges ta chambre, c’est un dépotoir ! En plus de ça, je suis tombée sur ton relevé de notes trimestriel, tu es passée à 16.1 à 14.5, je peux savoir pourquoi ?

J’étais en primaire, j’avais des résultats on ne peut plus satisfaisants surtout par rapport au niveau de la classe mais, malgré ça, elle trouvait encore quelque chose à me reprocher comme à sa plus grande habitude. J’avais douze ans, mon cousin en avait dix-huit et on peut dire qu’il m’avait appris les bases de mon éducation… Je pris mon bulletin un sourire angélique aux lèvres histoire qu’elle ne me reproche pas mon manque de politesse en plus de cela et, une fois le dos tourné, je chuchotai le plus discrètement possible.

- Quelle conne !
- Tu veux répéter ?
- Non rien, je disais seulement bonne journée Jen’.

Mon cousin me fit un clin d’œil tout en rigolant. Il m’avait appris à mentir comme une experte et, ma tante n’était pas au bout de ses surprises après moi !

" La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce que l'on veut et de le vouloir cependant à tout prix. "

Mes seize ans venaient tout juste de sonner. Mon cousin avait déménagé, je vivais donc seule avec ma tante Jennyfer. Comme tous les jours, j’étais passée par la fenêtre de ma chambre la veille au soir pour sortir avec des amis. C’était ma période adolescente rebelle qui sort avec des connaissances et qui se défonce avec toutes sortes de drogues disponibles, qui danse jusqu’au bout de la nuit un verre à la main et qui finit avec un inconnu sous les draps. En parlant de ça, c’est exactement ce qui m’était arrivée et, c’est avec un mal de tête abominable que je me réveilla. Malheureusement pour moi, mes ennuis venaient seulement de commencer. Encore endormie, je tournais la tête vers la poignée de la porte qui se tournait petit à petit et, c’est à ce moment que ma tante débarqua au milieu d’une pile de fringues entourée de mégots et autres trucs.

- Maëlys Beth Canzano !

Elle avait l’air furieuse. Son sourire se crispa pour laisser passe à un regard noir qui en disait beaucoup sur ses attentions. C’est alors qui le joli brun se réveilla, surement à cause des cris de furie que Jen’ poussés. Moi, je me tournais vers lui, le sourire rayonnant, ignorant totalement ma tante.

- Bonjour ! Bien dormi ?
- Maëlys ! Je peux savoir qui c’est ? C’est une blague ?

Après avoir soupirée, je regardais ma tante dans les yeux avant s’affirmer sèchement.

- C’est bon, t’es pas ma mère ! C’est quoi ton nom déjà ?
- Matt ! Bon, je crois que je vais y aller moi…
- Oui, vous feriez mieux ! Quant à toi, tu le suis. Dégage de ma maison !

Tout en me redressant, je regardais mal sortir et, après quelques secondes, j’entendis la porte d’entrée se claquer brusquement. Il fallait bien que ça arrive un jour. En tout cas, je ne l’avais jamais vu aussi énervée et, je le fus aussi par la suite.

- Quoi ? Tu… Tu me fous à la porte ?
- Oui exactement ! Les notes, je peux comprendre mais ton comportement non ! Tu ramènes des mecs que tu ne connais pas dans ma maison, tu sors en douce et… Tu te drogues ?!
- T’as pas le droit, si maman était là ! Tu peux vraiment pas comprendre, t’es trop conne !

Jen’ se leva et sa main fit un aller retour son mon visage. C’était sure ! Si je l’avais mérité ? Surement. Si je l’acceptais ? Pas du tout ! Je me levais à mon tour et lui fis face pendant deux secondes avant de prendre un sac et de commencer à empiler mes affaires dedans. Une fois finie, je l’observais à nouveau :

- C’est la dernière fois que tu me vois…

Je partie sans même me retourner et pris la route en direction de l’appartement de mon cousin. Il était le seul et l’unique à me comprendre, j’avais besoin de cette vie plus que d’autre chose. Je venais tout juste de me prendre une averse et, c’est trempé de je me présentai à la porte de Jeremy. Il n’avait pas l’air surpris de me voir. Je n’avais pas besoin de prononcer de mots pour qu’il me comprenne, il s’écarta du palier pour me laisser entrer. C’est seulement une fois installée et douchée que je me décidai à lui expliquer la situation dans laquelle j’étais.

- Ta putain de mère m’a foutu à la porte !
- Doucement ma belle, ça reste ma mère. Tu sais que t’es ici chez toi, tu peux rester autant de temps que tu veux tant que je ne fous pas la merde.
- J. tu sais comment je suis, ton appart’ risque de ne plus être en état dans une petite semaine…
- Fais un effort c’est tout ce que je te demande ! Et puis, je ne veux pas de mecs ici, pas de soirée improvisée, pas de joints et compagnie. Compris ?
- Je crois que je n’ai pas le choix… Marché conclu cousin !

" Ne prenez pas la vie au sérieux ; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant. "

Cela faisait maintenant plus de deux ans que je vivais chez mon cousin. J’avais dix-neuf ans et les conneries, je les enchainais les unes derrière les autres sans me prendre la tête. Tout comme les fêtes d’ailleurs, Jeremy quimpait quand il rentrait et qu’il voyait ce foutoire mais, j’étais assez grande pour gérer ma vie et il me faisait assez confiance pour ne pas m’engueuler. Certes, il me faisait la morale, les disputes arrivaient à tout rompre mais, nous ne restions pas bien longtemps fâchés. Mes journées étaient constituées de la sorte : cours, sport, soirée, dormir et tout le tralala. Je vivais une vie on ne peut plus normale tout en m‘amusant comme il se le devait. Ma vie est cool, Jeremy est ma seule véritable famille avec mes amis bien sur, je vis de rire et tout va bien dans le meilleur des mondes. En espérant que cela dur encore et encore jusqu’à la fin des temps. Bon d’accord, je ne suis pas une princesse dans son château, j’ai grandit en banlieue, dans la débauche, l’alcool, le sexe mais après tout, j’ai tout ce dont je rêve où du moins, tout ce dont j’ai besoin. Fin !!!

behind the screen

PSEUDO : HerSunshine. AGE : Bientôt 16 ans AVATAR PRIS : Minka Kelly COMMENT AS TU ATTERI ICI : Par partenariat CE QUE TU PENSES DU FORUM : Magnifique surtout le design *O* CODE : Validé. FICHE : [x] Terminé [] En cours UN PETIT MOT : NAAAAAAAAAAAAAA[...]TE ! Je t'aimeuuh !! /SBAFF/

B. Maëlys Canzano a écrit:

B. Maëlys Canzano

♪ nom : Canzano
♪ prénom(s) : Beth Maëlys
♪ âge : 19 ans
♪ date&lieu de naissance : 12 février à LA
♪ nationalité : Italienne par ma mère et américaine par mon père
♪ statut : Célibataire
♪ groupe : McKinley’s Students

looser like me?

C’est derrière une bouille à croquer et un sourire angélique que se cache la plupart du temps Maëlys mais, la nuit tombée, son côté débauche, fêtarde prend le dessus et cela depuis un bon moment déjà. A première vue la jeune femme à l’air de quelqu’un de très timide et réservée mais en réalité, les apparences sont trompeuses. Il suffit juste de la connaitre, ce qui n’est pas bien difficile car elle accorde sa confiance au premier venu. De nature très bavarde, on la considère comme une grand gueule à qui il ne faut pas raconter ses secrets bien qu’elle fasse des efforts quand cela est primordiale ! Maëlys est souriante et dynamique, peut-être même un peu trop de temps à autre mais, elle sait remonter le moral à quelqu’un qui ne va pas bien. Elle adore être au courant de tout et savoir qu’elle est aimée et cela, même si elle a des ennemis. D’ailleurs, elle n’a qu’un mot pour décrire ce genre de personne : Jaloux. Malgré le fait qu’elle passe la plupart de ses nuits dans des boîtes de nuit ou des bars et qu’elle se réveille très souvent dans un lit qui n’est pas le sien au côté d’un bel inconnu, elle fait partie des personnes qui se sentent obligées de travailler pour obtenir de bons résultats, un bon métier et bien sur, pour la culture générale. Passionnée de danse comme de chant, elle adore passer du temps dans les karaokés et autres lieux dans ce genre. Maëlys est le genre de femme qui « prend la vie du bon côté et qui la croque à pleine dents » car, comme elle le dit si bien « On a qu’une vie, qu’une jeunesse ! ». Une vraie boule d’énergie qui ne demande qu’une chose, vivre au côté des personnes qu’elle aime le plus au monde. Pour elle, les amis sont essentiels, la famille également bien que ses parents l’ont quitté, la popularité est une chose dont elle souffrir, être au premier plan est l’une de ses priorités, la richesse et le luxe sont les choses qui passent en dernier. La demoiselle a du caractère, elle sait gérer son temps de divertissement et celui où il faut bosser.
Sinon, physiquement, on peut dire qu’elle est brune /SBAFF/, elle a les yeux d’un noir profond et un sourire magnifique. Maëlys a les traits fins, une silhouette dont la plupart des filles rêvent de posséder et n’hésite pas à jouer avec son avantage. Elle est de taille moyenne bien qu’elle soit plus grande que petite et fait très attention à son apparence. Miss Canzano adore les virées shopping, la plupart de son budget passe dans les fringues. Toujours habillée à la mode, elle n’hésite pas à porter mini short et talons aussi bien qu’une robe et des chaussures plates. C’est simple, elle porte de tout !

It's A love story

" L’absence ne tue l’amour que s’il est malade au départ. "

- Lys, descends tout de suite s’il te plait !
- Oui, j’arrive !

Après la mort de ma mère alors que j’avais deux ans, mon père me détestait ne supportant point la ressemblance qui m’unissait à ma mère. Il m’a déposé chez ma tante à Lima, sans un regard, un je t’aime, il est reparti en Italie et je n’ai jamais plus eu de nouvelles. Certains penseront que de ce fait, j’ai souffert d’une absence, un manque d’amour mais pas du tout, j’étais heureuse. Peut-être grâce au fait que je n’étais qu’une enfant ?! Je n’ai jamais vraiment eu besoin de l’amour de mes parents, je ne l’ai connu que très peu et je n’ai aucun souvenir du sourire de ma mère ou encore des bras de mon père m’enlaçant. Le peu de photos dont je disposais de ma défunte mère, j’évitais de poser les yeux dessus car la nostalgie et moi, ça faisait deux ! Quant à celles de mon père, toutes brûlées, il n’avait cas me donner des nouvelles après tout ! Bref, je vivais donc avec ma tante et mon cousin âgé de six ans de plus que moi. Je l’ai toujours considéré comme le frère que je n’ai jamais pu avoir. Il faut dire que la relation que j’entretenais avec lui était tout comme par contre, avec ma tante, ce n’était pas la joie et la bonne humeur. Nous étions toujours entrain de nous tirer dans les pattes et cela pour des choses complètement idiotes. Comme ce jour ci par exemple. Après qu’elle m’ait appelé, je descendis les escaliers puis, saluais mon cousin qui était entrain de prendre son petit déjeuné, je lui adressai un grand sourire.

- Il faudrait que tu ranges ta chambre, c’est un dépotoir ! En plus de ça, je suis tombée sur ton relevé de notes trimestriel, tu es passée à 16.1 à 14.5, je peux savoir pourquoi ?

J’étais en primaire, j’avais des résultats on ne peut plus satisfaisants surtout par rapport au niveau de la classe mais, malgré ça, elle trouvait encore quelque chose à me reprocher comme à sa plus grande habitude. J’avais douze ans, mon cousin en avait dix-huit et on peut dire qu’il m’avait appris les bases de mon éducation… Je pris mon bulletin un sourire angélique aux lèvres histoire qu’elle ne me reproche pas mon manque de politesse en plus de cela et, une fois le dos tourné, je chuchotai le plus discrètement possible.

- Quelle conne !
- Tu veux répéter ?
- Non rien, je disais seulement bonne journée Jen’.

Mon cousin me fit un clin d’œil tout en rigolant. Il m’avait appris à mentir comme une experte et, ma tante n’était pas au bout de ses surprises après moi !

" La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce que l'on veut et de le vouloir cependant à tout prix. "

Mes seize ans venaient tout juste de sonner. Mon cousin avait déménagé, je vivais donc seule avec ma tante Jennyfer. Comme tous les jours, j’étais passée par la fenêtre de ma chambre la veille au soir pour sortir avec des amis. C’était ma période adolescente rebelle qui sort avec des connaissances et qui se défonce avec toutes sortes de drogues disponibles, qui danse jusqu’au bout de la nuit un verre à la main et qui finit avec un inconnu sous les draps. En parlant de ça, c’est exactement ce qui m’était arrivée et, c’est avec un mal de tête abominable que je me réveilla. Malheureusement pour moi, mes ennuis venaient seulement de commencer. Encore endormie, je tournais la tête vers la poignée de la porte qui se tournait petit à petit et, c’est à ce moment que ma tante débarqua au milieu d’une pile de fringues entourée de mégots et autres trucs.

- Maëlys Beth Canzano !

Elle avait l’air furieuse. Son sourire se crispa pour laisser passe à un regard noir qui en disait beaucoup sur ses attentions. C’est alors qui le joli brun se réveilla, surement à cause des cris de furie que Jen’ poussés. Moi, je me tournais vers lui, le sourire rayonnant, ignorant totalement ma tante.

- Bonjour ! Bien dormi ?
- Maëlys ! Je peux savoir qui c’est ? C’est une blague ?

Après avoir soupirée, je regardais ma tante dans les yeux avant s’affirmer sèchement.

- C’est bon, t’es pas ma mère ! C’est quoi ton nom déjà ?
- Matt ! Bon, je crois que je vais y aller moi…
- Oui, vous feriez mieux ! Quant à toi, tu le suis. Dégage de ma maison !

Tout en me redressant, je regardais mal sortir et, après quelques secondes, j’entendis la porte d’entrée se claquer brusquement. Il fallait bien que ça arrive un jour. En tout cas, je ne l’avais jamais vu aussi énervée et, je le fus aussi par la suite.

- Quoi ? Tu… Tu me fous à la porte ?
- Oui exactement ! Les notes, je peux comprendre mais ton comportement non ! Tu ramènes des mecs que tu ne connais pas dans ma maison, tu sors en douce et… Tu te drogues ?!
- T’as pas le droit, si maman était là ! Tu peux vraiment pas comprendre, t’es trop conne !

Jen’ se leva et sa main fit un aller retour son mon visage. C’était sure ! Si je l’avais mérité ? Surement. Si je l’acceptais ? Pas du tout ! Je me levais à mon tour et lui fis face pendant deux secondes avant de prendre un sac et de commencer à empiler mes affaires dedans. Une fois finie, je l’observais à nouveau :

- C’est la dernière fois que tu me vois…

Je partie sans même me retourner et pris la route en direction de l’appartement de mon cousin. Il était le seul et l’unique à me comprendre, j’avais besoin de cette vie plus que d’autre chose. Je venais tout juste de me prendre une averse et, c’est trempé de je me présentai à la porte de Jeremy. Il n’avait pas l’air surpris de me voir. Je n’avais pas besoin de prononcer de mots pour qu’il me comprenne, il s’écarta du palier pour me laisser entrer. C’est seulement une fois installée et douchée que je me décidai à lui expliquer la situation dans laquelle j’étais.

- Ta putain de mère m’a foutu à la porte !
- Doucement ma belle, ça reste ma mère. Tu sais que t’es ici chez toi, tu peux rester autant de temps que tu veux tant que je ne fous pas la merde.
- J. tu sais comment je suis, ton appart’ risque de ne plus être en état dans une petite semaine…
- Fais un effort c’est tout ce que je te demande ! Et puis, je ne veux pas de mecs ici, pas de soirée improvisée, pas de joints et compagnie. Compris ?
- Je crois que je n’ai pas le choix… Marché conclu cousin !

" Ne prenez pas la vie au sérieux ; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant. "

Cela faisait maintenant plus de deux ans que je vivais chez mon cousin. J’avais dix-neuf ans et les conneries, je les enchainais les unes derrière les autres sans me prendre la tête. Tout comme les fêtes d’ailleurs, Jeremy quimpait quand il rentrait et qu’il voyait ce foutoire mais, j’étais assez grande pour gérer ma vie et il me faisait assez confiance pour ne pas m’engueuler. Certes, il me faisait la morale, les disputes arrivaient à tout rompre mais, nous ne restions pas bien longtemps fâchés. Mes journées étaient constituées de la sorte : cours, sport, soirée, dormir et tout le tralala. Je vivais une vie on ne peut plus normale tout en m‘amusant comme il se le devait. Ma vie est cool, Jeremy est ma seule véritable famille avec mes amis bien sur, je vis de rire et tout va bien dans le meilleur des mondes. En espérant que cela dur encore et encore jusqu’à la fin des temps. Bon d’accord, je ne suis pas une princesse dans son château, j’ai grandit en banlieue, dans la débauche, l’alcool, le sexe mais après tout, j’ai tout ce dont je rêve où du moins, tout ce dont j’ai besoin. Fin !!!

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PSEUDO : HerSunshine. AGE : Bientôt 16 ans AVATAR PRIS : Minka Kelly COMMENT AS TU ATTERI ICI : Par partenariat CE QUE TU PENSES DU FORUM : Magnifique surtout le design *O* CODE : Loser like me FICHE : [] Terminé [x] En cours UN PETIT MOT : NAAAAAAAAAAAAAA[...]TE ! Je t'aimeuuh !! /SBAFF/